Suée D'automne Froideur D'été Changement D'heure Thermo Metre T'habite A Combien De Kilometre De Tours Ha ha Casse couillon
5 commentaires:
Anonyme
a dit…
Merci Marie ..., ce qui se conçoit bien s'énonce clairement .. Votre intérêt pour le mouvement, je l'espère ne restera pas ailleurs, sur la défensive, l'évasive, ou réduite aux évènement de type expositions. Vous avez raison pour les marques. Les mots et les codes associés sont parfois pipés, et vous le savez mon coeur. Votre prudence toutefois, ici, est une preuve de sagesse, et l'équilibre des mots dans vos phrases me ravissent, j'adore caresser les encéphales, en percevoir les contours, les failles, les atours, les mots sont parfois comme des molécules de phéromones. Une bien belle féminité que voilà. Vous me stimuleriez aisément. Bye ..
Aux autres. "Magritte aurait pu choisir tout un tas d'objets. Il a choisi une pipe. Comme je vous l'ai dit, vous n'y êtes que de façon très incomplète ". Voyons, voyons, cela fait 2 fois, que je suis contraint de vous reprendre sur ce point, serait il possible que vous puissiez tenter de tronquer ma première "analyse"? Mais, prenez vous les lecteurs pour des pipes? Qu'importe, il leur suffirait de lire mon "analyse" (le cadre ne se prête pas à un déploiement suffisant pour ce mot sans guillemets, navré de le répéter), et à vous, andorre, de re-x-lire ou persister dans la tentative de détournement, c'est tout mimi, ma poule, mais amba n'est pas là pour la danse. Certains ici croient que le nombre suffit à la valeur des commentaires. Il n'en est rien. Par ailleurs, chère assiette, il me plaît en vérité qu'on puisse tenter de me rabrouer, cela me leste. Un gage de retour au réel, en revenant d'un monde si apprêté. La valeur pratique, voire donc pratiquement surréaliste en de tels lieux, de mes propres commentaires tentaient de réchauffer quelques frigidités de salons mondains et il est à regretter que mon approche ait été si intentionnellement tronquée à l'aspect grivois. L'humour necessaire du peintre qui confia à la postérité, la simplicité qui mena ici et là son gargarisme railleur à de tels embonpoints de jolis discours, s'en trouve probablement renforcé.
Mais vos limites seront les miennes, parce que je l'ai choisi ..
Je cite : "Suffit-il de livrer aux autres son point de vue, point de vue que ceux-ci sont en droit de supposer issu d’une analyse, sans donner le cheminement, l’articulation même qui y conduit ? C’est prétendre à un lien [ici entre le tableau de Magritte et notre point de vue] sans le montrer. Il n’y a guère d’intérêt. Peut-être même serait-ce révoltant pour le peintre lui-même, lequel s’est appliqué à peindre et à écrire sur son tableau ce dont il est question ! Avant de donner à lire notre point de vue, ne faut-il pas dire… ce qu’on voit ?"
Le pouvoir du peintre, au travers de cette écriture de maître d'école, vous domine. Reprenez vous, que diable .. En vérité, je vous le dis, si le peintre expose sa toile, sans y adjoindre l'analyse, le -lien- entre son tableau et notre point de vue, il n'a ni à vous demander de faire ce travail .., ni à s'offusquer de la trivialité, de la concision ou de la paresse de l'analyse critique qu'on peut en faire. Par ailleurs, on peut le dire, en observant la qualité d'écriture de la phrase du tableau, cette "analyse", relève du banc d'école primaire. Et pour ma part, j'ai souhaité pousser l'analyse critique à un niveau scolaire plus avancé (celui de l'adolescence) qui est comme vous le savez peut être, l'âge de la révolte devant cette caractérisation de l'infantilisation, faite par un tiers. Et à défaut d'être un con, il est probable qu'un tel peintre en rierait avec nous. La leçon est retenue, j'espère ..
Ceci n'est pas une pipe --------------Esta no es una pipa-------This is not a pipe------이것은 파이프가 아니다-----Это не трубы-----------這不是一個煙斗---------דאס איז ניט אַ רער--------- Dies ist keine Pfeife ------------これはパイプではありません--------هذه ليست الأنابيب
Qui suis-je? Si je savais.... je vous le dirais. Quoique qu'il en soit... C'est Bibi le bibiste. Présentation des tableaux et esquisses de Paul Pinson, artiste, naïf sous différents aspects, et pas des moindre, agrémentée de légende sous forme de sornette faites à quatre mains. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Exposition en perpétuel mouvement, enrichie constamment. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° I have begun to paint in 1973 in my father’s workshop, Marc Boussac a french sculptor, in a free work, discovering the means by my self, using gouache, and now acrylics colors on papers, canvas and wood. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° In a speed world, my slow work progress like the detours into a lost garden, of the middle of my way life. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° All is savour and color. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
내 가 누구 냐고? 만약 내가 알고 ... 내가 당신을 말할 것이다. 비록 그게 ... 비비 bibiste입니다. 폴 Pinson, 아티스트, 다양한 측면에서 순진하게, 그리고 최소한의 전설을 더합니다에 의해 그림과 스케치의 프레 젠 테이션은 4 개의 손을 말도했다.
Who am I? If I knew .... I tell you. Although it is ... This is the bibiste Bibi. Displaying pictures and sketches by Paul Pinson, artist, naive in various ways, not least, with its legend in the form of Sornette made four hands. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Exposition in perpetual motion, constantly enriched. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° I have begun to paint in 1973 in my father's workshop, Marc Boussac a French sculptor, in a free work, discovering the means by my self, using gouache, acrylics and now colors on paper, canvas and wood. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
In a speed world, my slow work progress like the detours into a lost garden, the middle of my way of life. All is savor and color.°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Paul Pinson
5 commentaires:
Merci Marie ..., ce qui se conçoit bien s'énonce clairement ..
Votre intérêt pour le mouvement, je l'espère ne restera pas ailleurs, sur la défensive, l'évasive, ou réduite aux évènement de type expositions. Vous avez raison pour les marques. Les mots et les codes associés sont parfois pipés, et vous le savez mon coeur.
Votre prudence toutefois, ici, est une preuve de sagesse, et l'équilibre des mots dans vos phrases me ravissent, j'adore caresser les encéphales, en percevoir les contours, les failles, les atours, les mots sont parfois comme des molécules de phéromones. Une bien belle féminité que voilà. Vous me stimuleriez aisément. Bye ..
Aux autres.
"Magritte aurait pu choisir tout un tas d'objets. Il a choisi une pipe. Comme je vous l'ai dit, vous n'y êtes que de façon très incomplète ".
Voyons, voyons, cela fait 2 fois, que je suis contraint de vous reprendre sur ce point, serait il possible que vous puissiez tenter de tronquer ma première "analyse"? Mais, prenez vous les lecteurs pour des pipes? Qu'importe, il leur suffirait de lire mon "analyse" (le cadre ne se prête pas à un déploiement suffisant pour ce mot sans guillemets, navré de le répéter), et à vous, andorre, de re-x-lire ou persister dans la tentative de détournement, c'est tout mimi, ma poule, mais amba n'est pas là pour la danse.
Certains ici croient que le nombre suffit à la valeur des commentaires. Il n'en est rien.
Par ailleurs, chère assiette, il me plaît en vérité qu'on puisse tenter de me rabrouer, cela me leste. Un gage de retour au réel, en revenant d'un monde si apprêté. La valeur pratique, voire donc pratiquement surréaliste en de tels lieux, de mes propres commentaires tentaient de réchauffer quelques frigidités de salons mondains et il est à regretter que mon approche ait été si intentionnellement tronquée à l'aspect grivois. L'humour necessaire du peintre qui confia à la postérité, la simplicité qui mena ici et là son gargarisme railleur à de tels embonpoints de jolis discours, s'en trouve probablement renforcé.
Mais vos limites seront les miennes, parce que je l'ai choisi ..
Je cite :
"Suffit-il de livrer aux autres son point de vue, point de vue que ceux-ci sont en droit de supposer issu d’une analyse, sans donner le cheminement, l’articulation même qui y conduit ? C’est prétendre à un lien [ici entre le tableau de Magritte et notre point de vue] sans le montrer. Il n’y a guère d’intérêt. Peut-être même serait-ce révoltant pour le peintre lui-même, lequel s’est appliqué à peindre et à écrire sur son tableau ce dont il est question ! Avant de donner à lire notre point de vue, ne faut-il pas dire… ce qu’on voit ?"
Le pouvoir du peintre, au travers de cette écriture de maître d'école, vous domine. Reprenez vous, que diable ..
En vérité, je vous le dis, si le peintre expose sa toile, sans y adjoindre l'analyse, le -lien- entre son tableau et notre point de vue, il n'a ni à vous demander de faire ce travail .., ni à s'offusquer de la trivialité, de la concision ou de la paresse de l'analyse critique qu'on peut en faire. Par ailleurs, on peut le dire, en observant la qualité d'écriture de la phrase du tableau, cette "analyse", relève du banc d'école primaire. Et pour ma part, j'ai souhaité pousser l'analyse critique à un niveau scolaire plus avancé (celui de l'adolescence) qui est comme vous le savez peut être, l'âge de la révolte devant cette caractérisation de l'infantilisation, faite par un tiers.
Et à défaut d'être un con, il est probable qu'un tel peintre en rierait avec nous.
La leçon est retenue, j'espère ..
Pardon, machin, mais il semble qu'une espèce de censure soit apparue ailleurs. Alors je te répond, ici ..
C'était à moi, que tu parlais, là bas?
pour ceux qui aimeraient y comprendre qque chose voici, l'origine de ces coment taire
PP
http://s-entredire.hautetfort.com/trackback/702322
Plutot ici
PP
http://s-entredire.hautetfort.com/archive/2006/10/23/desapprendre-a-lire-ce-qui-se-donne-a-voir-a-propos-d-un-tab.html
res ponce Pluto qui cuit,
QI que oui essend résumé
res humé, pues fr...
il quale cui-cui...
13aimé. :!
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